标题:Histoire de Faussaire
艺人:Gorges Brassens
作词:Georges Brassens
作曲:Georges Brassens
制谱人:jmg
指示:poum tchi
附注:
et la maitresse de c閍ns - dans un habit ma foi seyant
de berg鑢e de com閐ie - ma rencontre descendit
et mon petit bouquet soudain -parut terne dans ce
jardin
pr鑣 des massifs de fausses fleurs - offrant les plus
vives couleurs
ayant foul le faux gazon -je la suivis dans la maison
o brillait sans se consumer- un genre de feu sans
fum閑
face au faux buffet Henri deux -align閟 sur les rayons
de
la biblioth鑡ue en faux bois-faux bouquins achet閟 au
poids
Faux Aubussons, fausses armures,- faux tableaux de
maitres au mur,
fausses perles et faux bijoux,- faux grains de beaut
sur les joues,
faux ongles au bout des menottes,- piano jouant des
fausses notes
avec des touches ne devant -pas leur ivoire aux
閘閜hants
aux lueurs des fausses chandelles -enlevant ses
fausses dentelles
elle dit ,mais ce n'閠ait pas -sur "tu es mon premier faux
pas
fausse vierge, fausse pudeur -fausse fievre,simulateurs
des anges artificiels -venus d'un faux septi鑝e ciel.
La seule chose un peu sinc鑢e -dans cette histoire de
faussaire
et contre laquelle il ne faut - peut 阾re pas s'inscrire en
faux
c'est mon penchant pour elle et mon - gros point du
cot du poumon
quand amoureuse elle tomba - d'un vrai marquis de
Caraba.
En l'occurrence Cupidon - se conduisit en faux jeton
en v閞itable faux t閙oin - et V閚us aussi, n閍nmoins
ce serait sans doute mentir - par omission de ne pas
dire
que je leut dois quand m阭e une heure - authentique
de vrai bonheur.
节拍:♩ = 120
音轨:
- guitare - 爵士乐电吉他 Electric Guitar (jazz)
注释:Se d閏oupant sur champ d'azurla ferme 閠ait fausse bien suret le chaume servant de toitsynth閠ique ,comme il se doitau bout d'une all閑 de faux buison aperce - vait un faux puitsdu fond duquel la v閞itn'avait jamais d remonterslideslslslslsl
歌词:
Se découpant sur champ d'azur
La ferme était fausse bien sûr,
Et le chaume servant de toit
Synthétique comme il se doit.
Au bout d'une allée de faux buis,
On apercevait un faux puits
Du fond duquel la vérité
N'avait jamais dû remonter.
Et la maîtresse de céans
Dans un habit, ma foi, seyant
De fermière de comédie
A ma rencontre descendit,
Et mon petit bouquet, soudain,
Parut terne dans ce jardin
Près des massifs de fausses fleurs
Offrant les plus vives couleurs.
Ayant foulé le faux gazon,
Je la suivis dans la maison
Où brillait sans se consumer
Un genre de feu sans fumée.
Face au faux buffet Henri deux,
Alignés sur les rayons de
La bibliothèque en faux bois,
Faux bouquins achetés au poids.
Faux Aubusson, fausses armures,
Faux tableaux de maîtres au mur,
Fausses perles et faux bijoux
Faux grains de beauté sur les joues,
Faux ongles au bout des menottes,
Piano jouant des fausses notes
Avec des touches ne devant
Pas leur ivoire aux éléphants.
Aux lueurs des fausses chandelles
Enlevant ses fausses dentelles,
Elle a dit, mais ce n'était pas
Sûr, tu es mon premier faux pas.
Fausse vierge, fausse pudeur,
Fausse fièvre, simulateurs,
Ces anges artificiels
Venus d'un faux septième ciel.
La seule chose un peu sincère
Dans cette histoire de faussaire
Et contre laquelle il ne faut
Peut-être pas s'inscrire en faux,
C'est mon penchant pour elle et mon
Gros point du côté du poumon
Quand amoureuse elle tomba
D'un vrai marquis de Carabas.
En l'occurrence Cupidon
Se conduisit en faux-jeton,
En véritable faux témoin,
Et Vénus aussi, néanmoins
Ce serait sans doute mentir
Par omission de ne pas dire
Que je leur dois quand même une heure
Authentique de vrai bonheur.